Vêtements de luxe en maille Molli un vestiaire intergénérationnel qui se transmet de mère en fille

le nom de molli se chuchote de génération en génération, depuis près de 150 ans
de la même manière que se transmettent les recettes de famille, les vêtements en maille fine molli se portent de mère en fille, avec toujours autant de passion et de style, des États-Unis à la Corée du Sud, les femmes craquent pour ces “classic with a twist” au luxe discret pour se les offrir ou les offrir à leur mère, leur fille, leur sœur… ainsi, dans les boutiques molli, il n’est pas rare de croiser plusieurs générations, parfois issues d’une même famille

molli : l’histoire d’une marque dédiée aux femmes

fondée en 1886, la maison molli se fait d’abord connaître pour ses vêtements en maille fine pour bébé, quand elle reprend la célèbre marque de maille fine en 2015, charlotte de fayet a l’ambition de tricoter un vestiaire raffiné pour toutes les femmes : un objectif qu’elle atteint avec succès avec ses iconiques pulls, cardigans, pantalons et robes en maille

« Quand j’ai relancé Molli, ma référence était Eres parce qu’à l’époque c’était une marque de femmes, de qualité et de transmission »

savoir-faire et qualité

le secret des vêtements en maille de molli réside avant tout dans le choix des matières :  de la pure laine vierge et du coton d'Égypte au micronnage extra fin, reconnus pour la longueur et la pureté de leurs fibres, ces fils de haute qualité garantissent un toucher doux et soyeux, hypoallergéniques, isolants et légers, ce sont d’excellents régulateurs thermiques qui confèrent à chaque pièce un porté agréable, notamment en été, tricotés par nos mains habiles dans nos ateliers en France et en Italie, les vêtements de luxe molli se distinguent ainsi par leur délicatesse et leur technicité : des pièces polyvalentes, essentielles, produites de manière raisonnée, qui rendent belles, qui durent et qui se transmettent

« J’aime les belles matières, les pièces bien finies qui durent dans le temps et peuvent se transmettre parce qu’elles ont ce supplément d’âme qui ne se démode jamais »